Nous vous proposons de découvrir dans 4 villes différentes le travail de Toros.

Dans chaque ville le parcours se fait à pied. Mais il faut un moyen de locomotion personnel pour passer d'une ville à l'autre.



Cet artiste d’exception, disparu en 2020, a consacré sa vie à ses œuvres, uniques par leur patine et les symboles qu’elles véhiculent.

Enfant de rescapés du génocide des Arméniens, il était porté par le désir de transmettre l’histoire tragique de son peuple : elle a nourri son imaginaire, insufflé de la force aux monuments qu’il a façonnés, dédiés à la mémoire, à ce devoir qui nous revient à tous.

Si ses racines se trouvaient au-delà de la Méditerranée, c’est dans la Drôme que Toros a établi son atelier et fait carrière.

Les œuvres que vous allez (re)découvrir au fil du Rhône et de l’Isère forment un ensemble exceptionnel dont les pièces se répondent les unes aux autres, dans un dialogue donnant aux créations de l’artiste toute leur dimension symbolique.

Elles permettent de mettre en perspective les thèmes les plus significatifs de son œuvre et rendent éternelle la flamme qui habitait Toros.

Nous vous invitons à présent à prendre le temps de vagabonder d’une sculpture à une autre. Elles participent, chacune, à l’identité de notre territoire et en font sa fierté.



N'hésitez pas à demander "Le Focus - Parcours Toros Sculptures et Monuments" dans les offices de Tourisme de Romans ou Valence.

Après la destruction des remparts médiévaux au milieu du XIXe siècle, la ville s’étend vers le nord. Un nouveau quartier émerge, situé entre le centre historique et la gare.

L’économie locale connaît de nouveaux développements avec l’installation de

nombreux ateliers de fabrication de chaussures. Le besoin de main d’œuvre entraîne une hausse démographique importante et la population passe de 10 000 habitants en 1850 à 20 000 en 1940 puis 30 000 en 1968.

Au XIXe et au début du XXe siècle, Romans est aussi une ville de garnison, qui abrite plusieurs casernes.

Le centre-ville actuel prend peu à peu le visage que nous lui connaissons aujourd’hui.

Des espaces de circulation pour l’automobile sont aménagés et des monuments emblématiques sont construits : gare, caserne Bon (Marques avenue aujourd’hui), église NotreDame de Lourdes, kiosque à musique et hôtels particuliers comme la maison Figuet et la maison des statues.



1 - Gare de Romans Bourg de Péage

2 - Maison Figuet

3 - Notre Dame de Lourdes

4 - Caserne Bon (Marques Avenue)

5 - Musée de la Chaussure

6 - Kiosque à musique

7 - Champ de Mars

8 - Maison des Statues

Tous les jours, plusieurs centaines de drômois et touristes empruntent le pont qui relie Chatuzange-le-Goubet à Romans-sur-Isère, mais en connaissent-ils les secrets ?
Ce pont sert à l’exploitation du barrage-usine de Pizançon, un aménagement hydroélectrique.
EDF propose un circuit de 7 panneaux pédagogiques répartis le long du pont, permettant de découvrir l’hydroélectricité et le fonctionnement du barrage-usine. Divers sujets sont abordés : l’histoire du barrage depuis sa construction en 1928 à aujourd’hui, son implantation sur l’Isère, la présentation du barrage et le fonctionnement de l’usine, la préservation de la biodiversité autour du barrage et le rôle qu’il joue sur le territoire...
Partez à la découverte de l’hydroélectricité, une énergie propre et 100% renouvelable produite au plus près de chez vous.
Le parcours pédagogique, situé en extérieur, est accessible librement à tous, tous les jours et à toute période de l’année. Vous pouvez vous y rendre à pied ou à vélo, en empruntant le chemin des Boeufs ou l’itinéraire Véloroute Voie Verte, parfait pour une sortie en famille les weekends !

Le sentier comprend 11 stations où vous trouverez les explications sur le patrimoine. Dans ce document, les textes correspondent aux textes complémentaires des différentes stations.

Bâti autour de son château ancestral et tutélaire, Beauvallon est une commune de 312 ha seulement, à comparer de ses grandes voisines Etoile (4280 ha) ou Montéléger (945 ha) et longtemps peu peuplée avec 400 habitants.
A la fin des années 1960, la commune se développe rapidement, presque brutalement en triplant sa population en moins de 20 ans. Son centre de gravité se déplace vers les nouveaux quartiers. Pourtant aussi modeste soit-elle, des femmes et des hommes ont laissé un paysage, un patrimoine bâti et une histoire que le développement urbain tend à occulter.
La municipalité vous convie à découvrir une partie de ce patrimoine en compagnie d'Emile. Au long du parcours, des panneaux vous permettront de découvrir et d’évoquer des bâtiments, des lieux et ses habitants.
Ce beau vallon était fort apprécié autrefois lorsque le dimanche, les Valentinois venaient à Lavache, nom de la commune jusqu’en 1890, prendre le frais sous ses ombrages